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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 11:43

La municipalité actuelle a organisé, le 3 décembre dernier, une réunion de présentation de la version quasi-finale du projet de centre-ville rénové, devant une assistance qui semblait ne plus espérer quoi que ce soit de positif de l'équipe en place. Ce en quoi elle ne fut pas déçue.

La transformation annoncée du centre s'est réduite comme peau de chagrin après quatre années d'études (2009 à 2013) passées à faire fonctionner le miroir aux alouettes d'une mairie qui agit sans vision d'ensemble et sans concertation réelle avec ses habitants.

En lieu et place d'une rénovation tant attendue par les commerçants et les habitants du centre-ville, on aboutit à un aménagement centré uniquement sur l'îlot Clémenceau.

On promet des espaces verts, de l'immobilier, des parkings mais aussi de nouveaux commerces ! Alors que ceux qui existent actuellement ont tant de mal à subsister.

Pourquoi avoir attendu 25 ans de règne sans partage avec la population pour entamer une réflexion sur le cœur de ville dans les quatre dernières années et imposer une version avant de se retirer.

Quel gâchis ! Alors qu'il y avait tant d'idées à recueillir auprès des habitants, des commerçants, des associations, de l’opposition ; la majorité sortante nous impose des schémas d’aménagements peu réalistes, réduits à leur plus simple expression et variant d’une année sur l’autre car concoctés par des bureaux d’études déconnectés de la réalité de notre ville !

Au final, après une version n° V d’un projet de requalification globale du centre bourg incluant le transfert total de l’administration actuellement au Gatineau, présentée il y a deux ans, nous en sommes arrivés maintenant à une version édulcorée et effectivement réduite à peau de chagrin

Cette version envisage de raser uniquement la bande de maisons constituant l’îlot Clémenceau afin de construire un ensemble de 4 blocs d’immeubles et de rendre (peut-être) la rue Georges Clémenceau à double sens.

Quid des autres espaces ? Quid du positionnement du marché ? Quid de la circulation périphérique ? Quid des accès au centre bourg ? Quid du coût des travaux ? Pour toutes ces questions c’est le grand flou.

Ce projet est inacceptable en l’état car il est uniquement guidé par l’enjeu des élections prochaines et un effet d’annonce qui a pour seul but de promouvoir l’équipe sortante.

Ce projet est inacceptable en l’état car il est considéré par le petit bout de la lorgnette et sans étude d’impact, il doit être revu en totalité et de manière plus globale.

Ce projet est inacceptable en l’état car il n’engage que ceux à qui il est imposé car bien évidemment comme notre maire ne se représente pas, il n'aura donc pas à en assumer les conséquences!

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6 octobre 2013 7 06 /10 /octobre /2013 21:14

Pendant 25 ans, notre maire a laissé mourir à petit feu tout un quartier constituant un patrimoine balnéaire et maritime du plus grand intérêt.

L’installation d’un centre thalasso à Saint Hilaire est le serpent de mer qui ressurgit à la veille de chaque élection municipale.

 

Toutes les considérations liées au développement économique, à l’intégration dans le site, à l’impact écologique, aux handicaps générés pour le voisinage et les commerces locaux, aux coûts des travaux induits par son implantation, n’ont pas été suffisamment analysées et détaillées pour qu’un vrai choix puisse être fait.

 

De ce fait, je n’ai donc pas l’intention ici de faire un plaidoyer en faveur ou en défaveur de cette imposante infrastructure que certains souhaitent  mais que d’autres contestent.

 

A ce jour, les positionnements se sont  construits sur une attente très longue, un parti pris considérant des intérêts personnels et un emballement généré par la promotion qui en a été faite.

 

Je voudrais donc dire au sujet de ce monument : attention ! Car nous en prenons pour 50 ans !

 

Mais ce qui m’interpelle davantage encore ce sont les engagements politiques et le battage médiatique que cela induit

 

S’agissant du battage médiatique. Tout le monde le sait, cette opération n’est destinée qu’à promouvoir la majorité en place représentée par son maire et par son dauphin candidat aux élections municipales de 2014. Somme toute, cette action aurait pu être admise dans le courant d’un mandat.

Mais je tiens à souligner que nous sommes à quelques encablures des bureaux de vote et des obligations s’imposent à toute candidature.

Ce n’est pas parce que l’on est aux commandes que l’on peut se permettre d’utiliser les moyens financiers et humains de sa commune pour sa promotion.

 

La règle est simple et elle n’a pas été suivie.

 

Depuis le 1er septembre 2013, selon l’article L52.8 et suivants du code électoral, les candidats doivent effectuer leur promotion à leur frais et la communication ne peut dépasser le seuil de la seule information.

 

Ainsi les critères indiquant une information institutionnelle acceptable sont :

Le caractère habituel de la communication

Le critère de continuité (quantité budget attribué,…)

Le caractère informatif sans personnalisation

 

Ces critères n’ont pas été respectés ; car enfin, de quoi s’agissait-il ? Informer la population sur la possibilité de construire un centre de thalassothérapie à Sion sur l’Océan ?

 

Alors pourquoi toutes ces prestations périphériques:

un déjeuner de personnalités entourant serge BLANCO,

une séance d’entrainement organisée au stade du bouteillon,

une commission plénière programmée à la hâte avec le groupe promoteur de l’ouvrage,

l’enregistrement vidéo de cette séance,

la présence d’organismes publics départementaux et de notre conseillère régionale socialiste,

une conférence de presse,

une réunion publique qui n’en avait que le nom (seule 5 questions ont été possibles)

des installations sous toile dignes de camps romains;

Un buffet dinatoire substantiel pour clôturer le tout.

 

Je voudrais juste rappeler que la signature il y a 5 ans pour la construction de cette même thalasso avec  la Sté LE COULINEC n’avait fait l’objet que d’un encart dans les 2 journaux locaux.

Posons nous donc la question du coût financier et de l’investissement humain qu’a demandé cette campagne de publicité avec comme « objet marketing » notre pilier international Serge BLANCO ?

A ce sujet, une conversation privée avec M.  BLANCO(1) m’a permis de lui préciser ma pensée par rapport à cette récupération politique et à la précipitation de signer un acte de vente quelques mois avant de jeter l’éponge. De cela, il en a convenu car maintenant devenu stratège financier il n’est pas dupe. Mais les affaires sont les affaires, même si à un moment il s’est posé la question de venir ou pas à l’invitation de notre maire.

Pour terminer et c’est probablement le plus grave, notre maire engage l’avenir.

Il ne se présentera pas aux prochaines élections et pourtant il prend des décisions majeures et engage des processus irréversibles qu’il n’aura pas à assumer.

Il en va d’ailleurs du Plan Local d’Urbanisme qui a attendu 12 ans et de multiples aménagements du Plan d’Occupation des Sol comme du centre de thalassothérapie dont on cause depuis plus de 15 ans.

Mais pour ne parler que de la thalassothérapie, je trouverais tout à fait honnête et responsable de confier la décision de lancement d’opération à la future direction de la commune, quelque soit son bord et sa composition.

C’est à cette nouvelle majorité, en concertation avec la population, de faire le choix et de l’assumer.

Comme c’est à elle aussi de décider de la ventilation des 3 millions € de la vente des terrains de l’îlot Jeanne d’Arc. Ce n’est plus de la responsabilité de notre maire mais pourtant il a déjà prévu de les dépenser. Si je ne m’abuse, ces fonds rentrent au budget général et ne sont pas à affecter aux seuls besoins de Sion. Ce n’est pas Sion qui vend ses terrains. Les efforts, les impôts sont partagés entre toute la population, il me parait évident que les bénéfices le soient également.

 

Enfin, n’oublions pas que ce projet sera soumis à de multiples autorisations dont le pompage en mer. Nous n’avons donc pas fini de revoir ce serpent de mer ressurgir dans les années qui viennent au gré des aléas administratifs.

 

 

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 14:38

Tout d’abord, je tiens à signaler que dans le programme 2008/2014 du groupe  majoritaire en fonction depuis  4 mandats, il était prévu une 2ème salle de sport. Dont acte car cela était absolument nécessaire : depuis le temps !

 Mais, je ferais remarquer que la nouvelle appellation « Complexe omnisport » en dit long sur la dérive que nos élus dirigeants ont autorisée dans ce projet qui est maintenant luxueux. Certains le nomment déjà le « palais des sports » (à méditer) et c’est pour cette raison que son coût est exorbitant.

J’ai souvent insisté sur ce coût au cours de plusieurs réunions du conseil municipal. J’ai fait remarquer  qu’ailleurs (cf. des exemples sur les pages d’accueil du net  des collectivités équivalentes) ils ont réalisé de nouvelles salles de sport, répondant aux mêmes critères environnementaux et aux mêmes besoins de la population, MAIS : pour 30% moins cher ! (2 millions en dessous en considérant le coût TTC et les travaux de VRD)

Aujourd’hui, je suis sidéré et encore moins d’accord. A peine l’Avant Projet  Détaillé (APD) accepté en juillet 2012, on nous demande de voter pour un surcoût de 487 500 €  HT; tout simplement aux prétextes, que je considère non admissibles, de mise aux normes parasismiques et de rattrapage des retards.

 Les travaux supplémentaires sont les suivants :

 

1.       Des fondations spéciales pour environ 294 000 € HT pour ne pas avoir fait les études géotechniques nécessaires avant l’APD. En fait, c’est de la responsabilité du maître d’ouvrage (la commune) et surtout du maître d’œuvre. En effet, au simple examen des couches de terrain dans ce secteur (études géotechniques de 1977 pour le COSEC) et relativement aux nouvelles règles parasismiques sorties officiellement en 2010 et applicables au plus tard au 31 octobre 2012 ; il était évident que ses fondations spéciales auraient dues être incluses au niveau de  l’APD.

 

2.       Un mur de soutènement à 124 500 € HT et une plateforme à 69 000 € HT pour optimiser les délais ? En lisant entre les lignes, je dirais que c’est pour rattraper les retards du maître d’œuvre et pour pallier un défaut de phasage du calendrier d’exécution de cette opération.

 

Au total, cela fait donc déjà 12% d’augmentation et les consultations d’entreprises ne sont pas encore faites. Il y aura d’autres surprises !  Mais pas heureuses car elles toucheront au portefeuille du contribuable sans impact cette année car le gel pré électoral des impôts communaux est de circonstance ; mais plus tard, quand les nouveaux élus devront assumer les dépassements  financiers.

Gâteau sur la cerise, cette augmentation du coût de l’ouvrage entraîne contractuellement une augmentation des honoraires du maître d’œuvre qui est rémunéré au pourcentage. Ainsi pour avoir commis des erreurs et des oublis, il touchera 45 172,93 € HT en plus.

 

Enfin, j’allais oublier, compte tenu du choix de l’emplacement, il  convient de rajouter à tous ces coûts, les frais de déboisage (>30 000 €) et de la plantation de compensation (> 35000 €)

 

TOTAL de la facture supplémentaire : plus de 597 000 € HT

 

Je rappellerai que 1% d’augmentation des impôts communaux représentent environ 95 000€. Je vous invite donc à vous pencher sur les chiffres précités pour les comparer à ce dernier.

 

Une dernière chose, dès l’année 2015, cette opération en entraînera une autre. Il faudra  probablement « investir » dans un ravalement de l’ancienne salle de sport car sa mise en rapprochement et en liaison avec ce palais des sports tout beau, tout neuf, la dénaturera complètement et elle paraîtra comme une verrue.

 

Le type de salle était-il le bon ? L’emplacement était-il le meilleur ? la maîtrise financière est-elle assurée ? Peu importe ! Quand tout sera fini et quand le ruban sera coupé, avant les municipales de 2014, tout le monde ou presque aura oublié.

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10 juillet 2012 2 10 /07 /juillet /2012 15:32

 

Comme il a été indiqué en réunion publique le 03 juillet dernier, le PADD que nous avons examiné est un projet politique qui va se décliner ensuite en actions concrètes au travers du PLU.

Si c’est d’abord un projet politique, il se situe donc au niveau d’une réflexion plus large que celui de la commune ; en l’occurrence celui du territoire, du bassin de vie et plus particulièrement de la communauté de communes au travers du SCOT.

C’est dans ce cadre que 2 orientations ou 2 enjeux forts se dégagent aujourd’hui :

St Hilaire pôle central pour le logement

St Hilaire plateforme de développement des activités économiques.

Concernant le 1er point  uniquement:

M. le maire a  abordé en réunion publique et en CM le problème du logement et de l’augmentation de la population en indiquant que pour lui atteindre les 15000 habitants n’était pas un but, mais que si cela advenait il ferait en fonction. Cela n’est donc pas une politique en matière d’habitat mais du fatalisme.

Par ailleurs, il a été indiqué que dans la démarche du développement durable, l’homme devait être au centre d’un dispositif qui concilie 2 autres piliers que sont l’environnement et l’économie. Sur ce point je suis entièrement d’accord.

Quand on fait l’examen du document  qui nous a été remis on voit que d’une part dans les orientations thématiques proposées par notre maire, il est envisagé de conforter la commune dans un rythme de construction de 200 logements par an et que dans les orientations transversales le PADD  met en avant la promotion de la densité bâtie en affichant un objectif de 40 logements par ha ce qui fait 250 m² par parcelle.

Alors, j’ai indiqué que contrairement à ce que notre maire laisse entendre, son objectif est donc  bien d’atteindre au moins les 15000 habitants. En plus, compte tenu des contraintes relatives à l’environnement traitant de la densification et de la limitation de consommation des espaces, cela  obligerait de fait, les nouveaux Hilairois à se serrer les uns contre les autres dans certains secteurs de la commune.

J’ai demandé de simplement imaginer les nuisances dues à cette concentration et à la promiscuité (fumées, odeurs, bruits,…) et toutes  les querelles et conflits  potentiels  qui ont la propension à   générer  des phénomènes de délinquance au sens social du terme.

En définitive, c’est exactement tout ce que tout le monde redoute.

Le système d’habitat du type HLM à l’horizontal a malheureusement fait les preuves de son échec.

S’il est une nécessité de réduire les parcelles : soit ; mais alors attention aux zonages que cela va induire sur la commune.

Cette orientation est à conduire avec la plus grande précaution

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 17:28


Suite aux propositions faites par notre maire le 02 février 2012 

 

Les points clefs des différentes présentations du projet en centre ville ont été la concertation en amont, la localisation d’un bâtiment municipal en centre ville, l’ouverture des espaces, l’optimisation du stationnement.

Sur ces différents points, j’ai une opinion plus nuancée et moins Idyllique que celle de nos élus de la majorité.

 

Une concertation en amont !  Pourquoi faire si tout est figé ?

Depuis mon arrivée au conseil municipal en 2008, je n’avais de cesse de demander la mise en œuvre d’une étude de ce que j’appelais la requalification du centre bourg.  C’était d’ailleurs au programme des 2 candidats aux élections municipales de 2008, mais comme d’autres projets (agenda 21, marché couvert, salle de spectacle, salle de sport,…) celui-ci  n’a pas été  mis dans les priorités de début de mandat.

 Pourtant, Il m’était apparu évident que ce centre remodelé à petits bras au cours des années passés méritait un traitement rapide et en profondeur dans la perspective d’un accroissement inexorable de notre population et pour lutter contre sa mortification. Ce constat valait également  pour remettre en perspective et en relation étroite toutes les fonctions d’un centre ville digne de ce nom constituées par les pôles administratifs, commerciaux, culturels, cultuels et les liaisons fonctionnelles.

 Malheureusement, ce n’est que le 02 février 2012 que nous nous voyons présenté un projet quasiment ficelé dans ces grandes lignes, dont l’emprunte sur le terrain est d’ores et déjà figée et pour lequel il nous est demandé notre avis.

Mais, pourquoi faire si tout est figé? Il n’y a aucune marge de manœuvre, c’est trop tard où il aurait fallu présenter une alternative.

 

Un bâtiment municipal en cœur de ville : OUI ! mais de quelle taille ?

Au cours du dernier conseil municipal, le 10 février 2012, notre maire a indiqué son inquiétude qu’à l’échéance de 7 à 8 ans notre mairie n’aura à traiter que de l’état-civil. En effet, et je le rejoins sur ce point, dans les années qui viennent toutes les charges et compétences communales glisseront vers l’intercommunalité. Cette structure sera à terme la véritable institution détentrice des capacités financières techniques et administratives dans notre canton.

Partant de constat lucide pourquoi alors prévoir le transfert en plein cœur du centre ville de toutes les surfaces de bureaux d’administration communales du Gatineau. L’énorme bâtiment qui est envisagé sur le parking actuel répondra t’il aux fonctions avenir des services. A mon avis, Il sera probablement surdimensionné.

Il me parait plus raisonnable de conserver ces services là où ils sont pour le moment en attendant  de connaître les effectifs réels de notre future administration afin de calibrer notre nouvelle maison communale à installer en cœur de ville. Actuellement près de 200 personnes sont à la  manœuvre, mais dans 10 ans ?

 

 Ouvrir l’espace ! Optimiser les stationnements !  Quelle vraie réponse?

De mon point de vue, la « transparence » ou la percée envisagée au niveau de l’épicerie VIVAL ne peut être considérée comme une ouverture d’espace. C’est juste une communication possible entre des espaces d’un centre ville coupé en deux par une barre de bâtiments nouveaux à vocation commerciale et de logements.

La  vraie ouverture d’espace aurait été de démolir  l’actuelle mairie pour en construire une plus fonctionnelle (en partie Ouest par exemple, côté médiathèque) afin de créer un vaste champ de rencontres et d’activités en plein cœur de ville. Le nouveau bâtiment municipal moderne  à calibrer en prenant en compte les effectifs de la municipalité en 2020 aurait probablement trouvé sa place auprès ou en liaison avec la médiathèque.

Dans ce cas de figure, nous aurions vu apparaitre 2 zones fonctionnelles :

  • Une zone dédiée aux activités d’un centre dynamique, commercial, administratif, avec des lieux de rencontre et d’animation en son cœur (marché, kiosque, piste de jeux, jardin d’enfants, prolongement des terrasses commerçantes,…)
  • Une zone consacrée aux logements avec des stationnements de périphérie en nombre plus important qu’envisagé à ce jour pour accéder au centre devenu en partie piétonnier.

Mais il ne faut pas désespérer dans l’avenir et la réflexion que nous donne le temps qui passe ; aussi, j’encourage toutes celles et ceux qui ne veulent pas regretter de n’avoir rien dit en son temps, de consulter le projet en mairie et de se prononcer.

Pour plus d’informations  contacter Eric KOREN  06 15 17 93 82 ou eric.koren@wanadoo.fr

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  • : Eric KOREN - 1er candidat déclaré de l'opposition
  • : Préparer l'alternance nécessaire à une meilleure gestion et à la définition des enjeux stratégiques de la ville de Saint Hilaire de Riez au sein de la communauté de communes du Pays de Saint Gilles. Réunir toutes les compétences afin de donner un élan nouveau à notre commune.
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